17 mars 2010
Dictons, maximes et poésie
Ma mère, il serait doux de te savoir encore Dans la pénombre grave où luisaient tes bandeaux, Où le bruit familier de tes humbles travaux M’ouvrait l’amour secret de la chambre sonore, Quand, simple, tu vaquais aux soins de ton ménage Sous les yeux attendris...